Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée de Musset

Le texte de Musset revisité comme les Fragments d'un discours amoureux,
variations sur le thème de la séduction.
Seize comédiens se croisent, s'additionnent et se fractionnent, s'isolent, se répondent, tour à tour spectateurs et au coeur de l'action. Ils surgissent et se dissipent comme dans une "ronde", entraînant le spectateur d'une vision à l'autre...

"Et quand même on ne ferait que s'imaginer qu'on aime."

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Juin 1992 - Théâtre de la Maison du Portugal - Cité Internationale -
7 représentations.
Nov. décembre 1993 -Théâtre de la Fondation Deutsch de la Meurthe -
30 représentations.
Mars 94 - Reprise à la Fondation Deutsch de la Meurthe -
18 représentations.

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Création du Théâtre du Voyageur - Adaptation et mise en scène, Chantal Melior
Avec Stéphanie Barbier, Sandrine Baumajs, Maria-Pia Bellemare, Stéphane Biscuit, Martine Brossard, Pierre Cassard, Stéphane Claudet, Hélène Chamberland, Violaine Chavanne, Martine Combes, Sylvie Debord, Caroline Dutheil, Sophie Kordylas, Carole Kröl, Carol Lipkind, Sophie-Charlotte Magnard, Martine Matte, Antoine Meunier-Gachkel, Marc Roslin - Martine Matte, violon - Carol Lipkind, piano -
Et Joanna Maksimowicz, décors, costumes et photos - Patrick Melior, conseiller artistique - Michel Violleau, lumières.
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Charlie Hebdo, novembre 93
Seize acteurs et actrices pour un dialogue amoureux signé Alfred de Musset, ou comment draguer une marquise sur tous les tons : tendre, passionné, léger, hystérique, sensuel, détaché, comique, timide... A mi-chemin entre l'exercice de style et l'opéra en prose, ce spectacle étonne constamment, en grande partie grâce à une mise en scène pleine de trouvailles. Chapeau à Chantal Melior !

Le Quotidien de Paris, décembre 93
Chantal Melior n'enfonce pas des portes ouvertes. A partir de la charmante comédie - proverbe de Musset, elle crée un spectacle hétéroclite, tressant audacieusement chant et clowneries.

Le Parisien, décembre 93
Le Théâtre du Voyageur mené par Chantal Melior réussit à rendre toute la subtilité de Musset grâce à une mise en scène particulièrement enlevée .../... Tout s'enchaîne formidablement avec, aussi, pour la bonne bouche, quelques notes de piano et de violon.